Tout le monde sait qu’aujourd’hui, se déplacer est une nécessité. Que ce soit pour aller travailler, faire ses courses, ou simplement pour profiter de la vie, la mobilité est au cœur de nos journées. Et si l’on vous disait que, malgré les avancées technologiques et les nouvelles solutions de transport, beaucoup restent encore sur le bord de la route ?
Oui, parce que voilà le problème : dans nos grandes villes, les alternatives pullulent. Scooters, vélos électriques, trottinettes… Tout y est. Mais dès qu’on sort des centres urbains, le choix se réduit comme peau de chagrin. Pas d’options de transport abordables, pas de solutions écologiques à portée de main. Pour des milliers de personnes, notamment dans les zones rurales et les petites villes, le quotidien est une bataille pour trouver un moyen de transport fiable et économique.
Et c’est là qu’intervient eDOG, une jeune entreprise bordelaise, fondée par Thierry Lecoq. Leur mission ? Offrir une mobilité pour tous, et surtout pour ceux qui en sont privés. En démocratisant l’accès à des scooters électriques, en ciblant les zones oubliées, eDOG propose une alternative viable et responsable.
Dans cet article, nous allons explorer comment eDOG redéfinit le transport dans des territoires souvent laissés-pour-compte. Nous verrons pourquoi Thierry Lecoq, ancien humanitaire, a choisi de se lancer dans cette aventure singulière. Nous décrirons les solutions concrètes qu’ils mettent en place : des scooters électriques réparables à 100 %, des partenariats locaux solides, et une philosophie qui va au-delà du simple profit.
Préparez-vous à découvrir comment une entreprise locale réinvente la mobilité, et pourrait bien inspirer d’autres à suivre leur voie. Plongeons ensemble dans cet univers où technologie, engagement social et écologie ne font qu’un.
1. Origines et Mission d’eDOG
eDOG, une idée née d’un parcours atypique
Quand on rencontre Thierry Lecoq, on découvre rapidement un homme qui n’a rien du patron traditionnel. Son parcours n’est pas celui d’un entrepreneur classique. Après dix ans passés dans l’humanitaire, à arpenter des terrains minés par les conflits et les crises, Thierry décide de se poser, mais sans jamais vraiment lâcher son envie de contribuer. De cette expérience, il a gardé une conviction : même les solutions simples peuvent transformer des vies.
C’est ainsi que naît eDOG. Pas d’étude de marché complexe, pas de brainstorming interminable, mais une idée claire : permettre à chacun, même aux plus isolés, de se déplacer librement. Et surtout, de le faire de manière écologique. L’idée semble simple, mais elle cache un vrai défi : comment convaincre les communes, les habitants, les investisseurs, que la mobilité doit être accessible à tous ? Et comment s’assurer que cette solution soit durable, sans dépendre des modèles économiques classiques qui négligent souvent l’humain ?
Mobilité pour tous : une promesse audacieuse
Thierry ne se contente pas de belles paroles. Il veut agir. Et il sait que pour que eDOG réussisse, il faut aller là où personne n’ose s’aventurer : les petites villes, les zones rurales, ces endroits que la modernité oublie trop souvent.
Son plan ? Proposer un service de scooters électriques qui soit à la fois pratique et abordable. Pour ceux qui n’ont pas de voiture, pour ceux qui ne peuvent pas se permettre les solutions actuelles, pour tous ceux qui se retrouvent coincés sans moyen de transport fiable. eDOG veut offrir plus qu’une alternative. L’entreprise veut changer la donne.
Mais la route est semée d’embûches. Les coûts d’entrée sont élevés, les marges de manœuvre, serrées. Pourtant, Thierry Lecoq persiste. Son expérience humanitaire lui a appris que la résilience est la clé. Il est déterminé à faire d’eDOG une solution qui ait du sens, à la fois pour les utilisateurs, les employés et les partenaires locaux.
Une vision sociale et écologique
Pourquoi cette entreprise se distingue-t-elle dans le secteur des transports ? Parce qu’elle ne se contente pas d’offrir des scooters électriques. Elle cherche à combler un vide, à répondre à un besoin oublié. 30% de ses clients sont en situation de précarité économique. Pour eux, eDOG est plus qu’une option de mobilité : c’est un moyen de se reconnecter, de retrouver une autonomie.
L’écologie est aussi au cœur de cette aventure. Tous les scooters sont 100% réparables, conçus avec 30 à 60% de plastique en moins que leurs concurrents, et affichent une autonomie accrue de 90 km. Ce ne sont pas de simples arguments marketing. C’est une réponse concrète aux défis environnementaux d’aujourd’hui.
Dans cette mission, chaque détail compte. Chaque scooter, chaque itinéraire, chaque client pris en charge est une brique ajoutée à l’édifice d’une nouvelle mobilité. Pour Thierry Lecoq, c’est une manière de bâtir une société plus juste et plus verte, une ville après l’autre.
2. Une Solution de Mobilité Innovante et Responsable
Des scooters pas comme les autres
Les scooters d’eDOG ne sont pas de simples véhicules. Ils sont pensés pour durer, pour rouler loin sans laisser de trace. Thierry Lecoq ne voulait pas d’un produit de masse, conçu pour être remplacé au bout de quelques mois. Non, il voulait un scooter qui raconte une autre histoire, celle de la durabilité et de la robustesse.
Chaque modèle est conçu pour résister aux chocs, pour être réparé facilement. 100% des pièces sont remplaçables, car chaque panne doit être une opportunité de prolonger la vie du véhicule, pas une excuse pour en acheter un nouveau. Moins de plastique, une autonomie de 90 km, et une légèreté inégalée dans le secteur. Voilà le pari d’eDOG. Un pari risqué ? Oui, mais aussi une promesse de rester fidèle à ses valeurs.
Quand l’écologie rencontre l’économie
On pourrait penser qu’un tel engagement écologique a un coût. Et c’est vrai. Mais eDOG a trouvé des moyens intelligents pour maintenir des prix compétitifs tout en respectant ses principes. Comment ? En utilisant des matériaux moins polluants et en limitant les coûts de production par une gestion locale.
Chaque scooter est assemblé dans la région bordelaise. Une production locale qui favorise l’économie circulaire et renforce le tissu industriel de la région. Ici, pas question de compromis sur la qualité, tout est pensé pour offrir le meilleur rapport entre coût et impact environnemental. Le résultat ? Un produit qui ne se contente pas de respecter l’environnement, mais qui invite à repenser notre façon de consommer.
Une mobilité sur-mesure
La vraie innovation d’eDOG, c’est d’avoir compris que la mobilité doit être adaptée aux besoins des gens, pas l’inverse. Pas de solution unique pour tous. Chaque communauté, chaque quartier a ses particularités, et eDOG s’efforce de s’y adapter. Cela signifie travailler main dans la main avec les mairies, comprendre les besoins des habitants et ajuster les offres en conséquence.
Et cette écoute constante se traduit par des résultats concrets. L’entreprise a lancé des forfaits adaptés, des abonnements modulables, et un service client qui connaît ses utilisateurs par leur prénom. Thierry Lecoq insiste : pour que la mobilité devienne un droit, elle doit être flexible, accessible, et surtout, proche de ceux qu’elle sert.
Ainsi, chaque jour, eDOG trace son chemin, à l’écoute des besoins réels des communautés, prête à ajuster son cap pour mieux coller à ses idéaux.
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3. Engagement Social et Local
Plus qu’une entreprise, une mission sociale
Quand on pense à eDOG, on pense à des scooters, mais ce n’est que la surface. Derrière chaque deux-roues, il y a une mission. Et cette mission, c’est de rendre la mobilité accessible à ceux qui en sont privés. En France, des milliers de personnes n’ont pas accès à une voiture, à des transports en commun efficaces, ou simplement à des solutions adaptées à leur quotidien. Pour eDOG, il ne s’agit pas seulement de combler un manque, mais de réparer une injustice.
30% des clients d’eDOG vivent dans la précarité. Pour eux, se déplacer, c’est un combat de chaque jour. C’est là que l’entreprise intervient, avec des solutions concrètes, accessibles, et surtout inclusives. Car ici, chaque trajet compte, chaque client est un partenaire dans cette aventure. Pour eDOG, être social, ce n’est pas une option. C’est l’ADN même de l’entreprise.
Un ancrage local fort
Mais comment rester fidèle à cet ADN ? En s’ancrant dans le local. eDOG est fièrement bordelais, et cela se voit à chaque étape. Les scooters sont fabriqués localement, le service client est basé au cœur de Bordeaux, et l’entreprise collabore avec des acteurs régionaux. Ici, on parle de solidarité entre voisins, de circuits courts, de renforcer le tissu local plutôt que de le diluer dans une chaîne internationale.
Le choix de rester local n’est pas un hasard. Pour Thierry Lecoq, cela permet de garder un contrôle sur la qualité, mais aussi de soutenir l’économie de sa région. C’est un pari sur l’avenir, où chaque euro investi profite directement aux acteurs locaux. Une manière, encore, de démontrer que l’impact d’eDOG va bien au-delà des simples kilomètres parcourus.
Quand les partenariats deviennent des alliances
Cette stratégie de proximité s’accompagne de partenariats stratégiques. Mais pas n’importe lesquels. eDOG s’associe uniquement avec des structures qui partagent sa vision d’une mobilité responsable et accessible. Que ce soit avec l’Office de Tourisme, la SNCF, ou La Poste, chaque alliance est réfléchie. Ensemble, ils expérimentent de nouvelles solutions de transport, testent des projets pilotes, et imaginent des manières innovantes de répondre aux besoins des territoires.
L’entreprise ne recherche pas seulement des partenaires commerciaux, mais de véritables alliés pour bâtir ensemble une mobilité qui fasse sens. Une mobilité plus verte, plus humaine, plus juste. Et chaque collaboration vient nourrir cette ambition, celle de devenir un acteur de référence, non seulement à Bordeaux, mais dans toute la région Nouvelle-Aquitaine.
Grandir avec les communautés
Pour Thierry Lecoq, grandir ne signifie pas devenir grand à tout prix. Pas question de foncer tête baissée dans une course à la croissance sans fin. eDOG préfère avancer pas à pas, main dans la main avec les communautés qu’elle dessert. Les petites villes, les villages, ces lieux souvent oubliés des grands plans d’expansion. Voilà les terrains de jeu d’eDOG. Des endroits où l’entreprise peut vraiment faire la différence, loin des modèles standardisés.
L’idée est simple : travailler avec les mairies, les associations locales, pour comprendre les besoins spécifiques de chaque communauté. Adapter l’offre, former des mécaniciens locaux, créer de l’emploi là où il est le plus nécessaire. C’est en restant à l’écoute, en étant prêt à ajuster ses services en fonction des retours des habitants, que eDOG espère construire une mobilité durable et adaptée à tous.
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4. Partenariats Stratégiques et Collaborations
Des alliances qui font sens
Il ne suffit pas d’avoir de grandes idées. Il faut aussi les ancrer dans le réel, leur donner corps à travers des actions concrètes. Pour eDOG, cela passe par des partenariats stratégiques. Thierry Lecoq le sait bien : seul, on ne va pas loin, mais ensemble, on peut atteindre des horizons insoupçonnés.
Prenez par exemple le partenariat avec l’Office de Tourisme de Nouvelle-Aquitaine. Ici, l’idée est simple mais efficace : promouvoir une mobilité douce auprès des touristes en combinant les forces. eDOG met à disposition ses scooters pour découvrir la région autrement, sans bruit, sans pollution, à un rythme plus humain. Un projet qui a séduit d’autres acteurs, comme la SNCF et La Poste, qui collaborent désormais avec eDOG sur des initiatives pilotes, pour repenser les déplacements interurbains et les solutions de livraison.
L’influence de l’esprit local
Thierry Lecoq, lui, parle d’une « nouvelle diplomatie de la mobilité ». Une diplomatie où chaque partenariat n’est pas seulement un accord commercial, mais un engagement mutuel à agir pour un changement concret. À Bordeaux et en Nouvelle-Aquitaine, eDOG multiplie ainsi les initiatives avec des acteurs locaux. Des alliances qui transcendent les échanges financiers et se fondent sur des valeurs partagées : durabilité, proximité, solidarité.
Prenons l’exemple des collaborations avec les entreprises bordelaises comme Climb Up ou FullFly. Ici, pas de gros contrats, pas de montants faramineux, mais une entente gagnant-gagnant. Vous avez un espace de stationnement à nous offrir ? Nous, en retour, mettons en avant vos activités auprès de nos utilisateurs. Un deal simple, mais qui renforce le tissu économique local, tout en promouvant des circuits courts et des solutions écologiques.
Créer des ponts entre les mondes
Mais eDOG ne s’arrête pas là. Pour bâtir une véritable mobilité pour tous, il faut savoir tisser des liens là où personne ne pense à les créer. C’est ainsi que l’entreprise s’est associée avec des centres de formation (CFA) de Bordeaux et d’ailleurs. L’idée ? Former de jeunes mécaniciens à l’entretien et à la réparation des scooters électriques. Une démarche qui ne profite pas seulement à eDOG, mais qui offre également des perspectives d’avenir à des jeunes, souvent en quête de nouvelles compétences et de stabilité.
Ces partenariats, Thierry Lecoq les voit comme des passerelles entre différents mondes. Celui des entreprises et celui des collectivités, celui de l’économie sociale et solidaire et celui de l’industrie. L’idée est de montrer que, même dans un secteur concurrentiel, on peut encore créer du lien, encore faire preuve d’imagination, et surtout, encore agir avec sens.
S’ouvrir à d’autres horizons
Pour autant, eDOG ne veut pas s’enfermer dans une vision trop locale. L’ambition est de faire rayonner ses solutions au-delà des frontières de la Nouvelle-Aquitaine. Déjà, des discussions sont en cours avec d’autres régions françaises, prêtes à accueillir ce modèle unique de mobilité douce et inclusive. Et même à l’international, des appels d’offres se profilent.
Mais Thierry Lecoq garde les pieds sur terre. Chaque nouvelle ouverture de marché devra respecter la philosophie de l’entreprise. Pas question de diluer les valeurs, pas question de perdre l’âme qui fait aujourd’hui le succès d’eDOG. Le défi est donc de taille : croître sans se compromettre, s’agrandir tout en restant fidèle à l’esprit d’origine.
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5. La Vision et l’Avenir d’eDOG
Le rêve de devenir leader… mais pas n’importe comment
eDOG ne veut pas simplement être une entreprise parmi tant d’autres. Leur objectif ? Devenir le leader de la mobilité durable en Nouvelle-Aquitaine. Mais attention, pas question d’adopter les vieilles recettes du succès à tout prix. Thierry Lecoq est formel : cette croissance doit se faire pas à pas, sans jamais trahir les valeurs qui ont fait la force d’eDOG depuis ses débuts.
L’ambition est de s’étendre, oui, mais intelligemment. En se concentrant sur les petites et moyennes villes, en évitant la compétition frontale avec les géants du secteur. eDOG mise sur l’authenticité et la proximité. Pas besoin de tout conquérir d’un coup. Parfois, il suffit de bien faire les choses, là où ça compte vraiment.
Des projets concrets pour un avenir prometteur
Alors, comment se concrétise cette vision d’avenir ? D’abord, en ouvrant de nouvelles zones. eDOG prévoit d’étendre son réseau de scooters à dix nouvelles petites villes dans les prochains mois. Des villes souvent négligées par les autres opérateurs, mais qui, pour Thierry Lecoq, sont des terrains fertiles pour bâtir une nouvelle forme de mobilité. Car c’est dans ces zones, loin des métropoles saturées, que l’impact d’eDOG peut se faire le plus sentir.
Et ce n’est pas tout. L’entreprise veut aussi renforcer sa dimension sociale en intensifiant la formation de jeunes mécaniciens locaux. Chaque nouvelle implantation s’accompagne de partenariats avec des centres de formation, pour permettre aux jeunes de se former aux métiers de demain. C’est un double pari : aider la jeunesse à se former tout en assurant le service de qualité que les utilisateurs d’eDOG attendent.
Ne pas grandir à tout prix
Il serait facile de se laisser griser par le succès naissant, de céder à la tentation de se développer rapidement, coûte que coûte. Mais ce n’est pas le style d’eDOG. Pour lui, la clé est de grandir de manière organique, en restant toujours à l’écoute des besoins des utilisateurs et des communautés locales. Pas question de perdre cette connexion qui fait toute la différence.
L’expansion ne doit jamais se faire au détriment de la qualité ou des valeurs de l’entreprise. Chaque nouvelle ville, chaque nouveau partenariat doit respecter cette philosophie. Pas de croissance aveugle, mais une progression réfléchie, mesurée, toujours en phase avec les engagements pris depuis le premier jour.
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Conclusion
eDOG n’est pas une entreprise comme les autres. Elle est le reflet d’une ambition, celle de Thierry Lecoq, de changer la manière dont nous pensons la mobilité. En quelques années, eDOG a montré qu’il était possible de combiner efficacité économique, respect de l’environnement, et engagement social.
Avec des projets d’expansion, une communauté de clients fidèles, et des partenaires convaincus par leur approche, l’avenir d’eDOG semble prometteur. Mais pour Thierry Lecoq, il ne s’agit pas seulement de croissance. Il s’agit de montrer qu’une autre voie est possible. Que la mobilité peut être réinventée, repensée, partagée.
Une histoire à suivre, sans aucun doute, pour tous ceux qui croient encore que les petites idées peuvent changer le monde.